Au cours de mon mandat de maire-adjoint de Paros et Président de KDEPAP, j’ai eu l’opportunité de rencontrer, entre autres, des personnes qui ont gagné mon admiration. L’un d’eux est M. Dimitrios Kalandranis. Un homme avec l’appétit d’un enfant et des actions de plein de substance. Né au Caire d’Égypte, il vit actuellement à Aliki, Paros. Il est diplômé de l’école de commerce du Caire, et d’Hôtellerie d’ICS de Londres et il parle six langues.
Il a été directeur chez SwissAir de 1965 à 1994. Depuis, il vit en permanence à Paros, où il écrit dans les journaux locaux où il traite de romans, d’essais et de questions sociales, car il a été une personne profondément socialisée, avec un sen- timent fort de solidarité sociale. En 2011, il a publié sa propre collection de poèmes, intitulée « de l’Amour, de l’Âme ». En 2012, une série d’essais publiés en anglais sous le titre « Getting to understand the Greeks » et en 2013, il publie sa deuxième collection de poèmes, intitulée «Sentiers de l’âme et de l’amour».
Entre autres, il est beaucoup impliqué dans la musique et la peinture. Il a composé 2 Cds avec sa propre musique, il joue plusieurs instruments de musique et il a participé à des expositions de peinture. En 2015, il fonde le chœur d’enfants d’Ageria, Paros, et organise chaque année la réunion de musique pour enfants, en collaboration avec l’Association culturelle d’Ageria. De plus, il est activement engagé en tant que responsable d’équipes d’enfants, de jeunes et d’adultes à l’Association culturelle d’Ageria depuis 2000, et organise des championnats de Tennis de table. D’ailleurs, ses actions à Ageria sont très bien accueillies par les habitants du village.
Enfin, entre 2010 et 2014 il a été membre de KDEPAP. Sa participation au Conseil d’Administration a été importante, ses idées très inspirantes et il convient de noter qu’il a offert – et continue à offrir – beaucoup d’expériences à la jeune génération de ce village. Il a été particulièrement émouvant de voir des enfants d’Ageria jouer du bouzouki, à la batterie, et chanter leurs chansons préférées lors des réunions musicales, dans une salle bondée de l’association du village. Je suis très heureux de notre coopération et je lui souhaite de continuer son travail sans cesse. Notre île a besoin de vrais ambassadeurs de la culture.
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