Un certain Saïen venant de Thrace
se pavane avec mon bouclier,
cet arme irréprochable que je
chérissais tant.
Sachez que malgré moi, dans les
buissons j’ai dû l’abandonner,
mais ce n’était que le prix à payer
pour m’échapper à une mort
certaine!
Adieu mon vénérable bouclier, jeté
dans la hâte et longue vie à moi
J’en trouverai un autre qui te
vaudra.
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